Niveau d’information sur la maladie : des connaissances partielles et un évitement face à l’information anxiogène.
Interrogés sur leur niveau d’information sur la maladie, presque la moitié des participants (49%) considèrent qu’ils ont été plutôt bien informés sur la maladie. Mais il reste qu’un nombre assez important soit 39% des répondants pensent que leurs connaissances sur le sujet sont restées partielles. Seulement 5% des répondants pensent être mal informés et avouent être confus devant certains points.
En revanche, selon les tranches d’âge, on peut constater des différences d’appréciation du niveau d’information. Les plus de 27 ans sont plus critiques et se sentent moins bien informés pour 41 % d’entre eux que pour les plus jeunes pour 54%. 47 % des plus de 27 ans estiment avoir des connaissances partielles sur certains points et 12% assez mal informés, voire que certains points restent confus pour eux.
Autre point, d’une manière générale, on relève que les 7% des participants qui ont exprimé un désintérêt pour les informations liées à la maladie sur la durée et en particulier les moins de 27 ans pour 10% d’entre eux.
J’évitais les médias au maximum afin de ne pas être confrontée à un contenu trop anxiogène, car ce que nous vivions, l’était déjà assez.
Je tentais pendant le premier confinement de m’informer le moins possible et de considérer au minimum la communication des pouvoirs publics.
La communication était anxiogène, j’ai très vite arrêté de suivre les informations.
Verbatims participants