Quand les médias privilégient “l’information sensationnelle” à “l’analyse”.
Plus de la moitié des participants (62%) estiment que les grands médias de masse ont davantage privilégié “l’information sensationnelle” à “l’analyse”. 20% estiment que les médias grands publics ont plutôt bien joué leur rôle d’information.
Comme d’habitude, les médias grand public font du divertissement, au mieux du commentaire, pas de l’information ni d’analyse.
Verbatim participant
Pour 50% des participants, les réseaux sociaux sont utiles mais l’information qu’ils diffusent a été biaisée par les médias dominants qui les ont influencés.
En s’appuyant sur l’âge médian de 27 ans, on constate que si chez les plus de 27 ans, les réseaux sociaux sont des relais néfastes des thèses complotistes, pour les moins de 27 ans, ils ont constitué une alternative permettant d’accéder à d’autres sources d’information.